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" Si vous ne vous unissez pas au Vide absolu, vous ne comprendrez jamais totalement la Voie de l'aiki "
Morihei Ueshiba
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La tenue vestimentaire

La tenue de base est le keikogi (vêtement d'entraînement), appelé à tort « kimono ». Il se compose d'une veste et d'un pantalon en coton blanc. La veste est fermée par une ceinture (obi). Il s'agit du même qu'en judo, bien qu'il existe des vestes spécifiques dont les manches sont raccourcies afin de faciliter la saisie des poignets.

Lorsque le professeur estime que l'élève a acquis une technique satisfaisante, il l'autorise à porter le hakama, une sorte de pantalon flottant noir ou bleu foncé. Le pratiquant est autorisé à porter le hakama à partir du deuxième ky?.

L'aïkido se pratique pieds nus ou avec des tabis sur le tatami (ou, à défaut de tatami, sur un tapis), mais l'étiquette enseigne qu'il faut s'y rendre avec des chaussures pour des raisons d'hygiène ; les pratiquants utilisent en général des nu-pieds appelés z?ri. Les z?ri doivent être disposées perpendiculairement au tatami, la pointe en direction de l'extérieur afin de pouvoir repartir rapidement. (voir le dossier "étiquette")

 

- KEIKOGI

 Keikogi est un mot japonais signifiant littéralement « vêtement d'entraînement » ; il est composé de keiko (la pratique, l'entraînement, l'action) et de gi (vêtement, tenue, ensemble de vêtements composant une tenue). On parle parfois de dogi, « vêtement de pratique de la voie » ; la veste est parfois désignée par le terme shitagi, littéralement « sous-vêtement », et qui était la veste portée sous l'armure par les samouraïs

 

 

 

- OBI

 

Un obi est une ceinture servant à fermer les vêtements traditionnels japonais, tels que les kimonos ou les vêtements d'entraînement pour les arts martiaux (keikogi ou d?gi).

Elle se présente sous la forme d'un ruban de tissu sans boucle ni fermoir.

Elle est blanche ou noire ( pas d'autres couleurs)

 

 Comment nouer sa ceinture sans croisement dans le dos avec un nœud simple

 

Comment nouer sa ceinture sans croisement dans le dos avec un nœud plat


- HAKAMA

 

Le hakama est un pantalon large plissé (sept plis, cinq devant et deux derrière), muni d'un dosseret rigide (koshi ita). Il était traditionnellement porté par les nobles du Japon médiéval, et notamment les samouraïs

 

 

 

L’histoire du hakama


Durant l’air Nara et Heian (710-1185) le hakama (alors uniquement de couleur blanc) n'était porté, lors des cérémonies, que par la noblesse.

C’est durant la période de Murosachi (1336-1573) que la forme du hakama fut retravaillée, devenant plus ample dans sa partie basse et nécessitant alors l’apparition des plis verticaux ainsi que du dosseret (koshiita). C’est à ce moment là que le hakama devint partie ordinaire du costume du samourai et du guerrier japonais. Le hakama se décline, notamment, en umanori-hakama, le hakama du cavalier, et en no-bakama, le hakama du voyageur.

A l’ère Meiji (1868-1912), le hakama devient partie intégrante du costume habituel des hommes, porté dans la vie courante ou à l’université.

Pour les enfants, le Hakama-Gi marquait, à l’occasion de cérémonies tenues à cet effet, le passage au “monde des grands” (pratique très ancienne prenant ses origines d’avant la période de Muromachi)… Notion de passage vers un état plus avancé... C'est pourquoi le hakama se porte par les plus gradés uniquement.

Dans la grande majorité des écoles d’Aikido, le hakama est porté généralement à partir du 2eme Kyu. Ce qui est le cas pour la FFAB.

Le fait de porter le hakama à partir d’un certain grade provient sans doute des origines historiques de ce vêtement qui, comme indiqué plus haut, marquait le passage au monde des adultes. Le port du hakama permet de faire une nette disctinction entre jeunes pratiquants et pratiquants plus anciens, une façon de plus de distinguer le gradé.

La symbolique des sept plis du hakama

 Les 7 vertus désignées



Les sept plis situés devant le hakama symboliseraient les sept vertus que les samouraïs dignes de ce nom devaient honorer : Les 7 vertues du budo

  • Gi ? - Honneur, Justice, Droiture
  • Rei ? - Courtoisie, Etiquette, Politesse
  • Y? ? – Courage
  • Meiyo ?? – Honneur, Piété
  • Jin ? - Bienveillance, Générosité, Compassion
  • Makoto ? - Sincérité
  • Ch?gi ?? - Loyauté

 

- TABI


Les tabi sont une forme traditionnelle de chaussettes japonaises. Elles montent soit jusqu'à la cheville, soit jusqu'à mi-mollet et séparent le gros orteil des autres orteils. Elles sont utilisées pour porter des geta ou des z?ri en complément du kimono traditionnel ou du yukata.


Les tabi sont la plupart du temps de couleur blanche, en particulier pour les occasions formelles. Il arrive cependant que les hommes portent des tabi de couleur noire.

Elles sont aujourd'hui encore portées avec le kimono ou keikogi dans plusieurs écoles de ninjutsu.

Le terme Jika-tabi désigne des chausses de même forme, faites de fibres plus épaisses et plus résistantes et dotées d'une semelle en caoutchouc. Ces Jika-tabi sont portées par les ouvriers de la construction, les jardiniers ou les tireurs de pousse-pousse.

 

 

 

 

- ZORI

Les z?ri sont des sandales japonaises.

Elles sont formées d'une semelle plate et de deux lanières rondes passant entre le gros orteil et le second orteil, puis se séparant pour s'arrimer sur le côté de la semelle aux trois quarts de sa longueur. Les z?ri sont souvent portées avec des chaussettes séparant le gros orteil des autres orteils, les tabi.

Traditionnellement, la semelle supérieure des z?ri était faite de paille de riz ou en Juncus effusus (« Jonc épars » ou Igusa). Les brins sont disposés transversalement, puis attachés par des fils courant sur la longueur de la semelle, une technique comparable à celle employée pour la confection des tatamis. Les lanières sont le plus souvent en velours. La semelle inférieure, cousue à la paille, était généralement en cuir. Aujourd'hui, il est toujours possible de trouver des z?ri à semelle de paille. La semelle inférieure est généralement en caoutchouc ou en plastique.

Les z?ri à semelle de paille ne sont plus guère portées qu'à la campagne ou dans le cadre des arts martiaux, pour éviter de se salir les pieds durant le trajet entre le vestiaire et le tatami.

 

- Tenue complète

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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